• andrzej zulawski

    andrzej zulawski

     

    voilà une histoire pour cinecure, j’oublie presque ça n’existe pas plus que le reste et comme je suis incapable de mettre ces fragments en ordre, tout ceci s’arrête dans la phrase même, en tout cas malgré l’excès de jeu typique du metteur en scène, nous assistons à un processus complexe , une histoire passionnelle entre une femme «libre» et un homme «posé» qui s’occupe d’un travail d’édition précieux presque en faillite, il se trouve que Marceau est la fille naturelle d’un maffieux de l’édition, ceci évite de justesse qu’il la baise elle aussi, elle qui se coule dans le désir de l’autre, un autre homme intervient, plus jeune, un peu destroy, et nous avons un croisement entre jalousie du mari et donc tension érotique et sexuelle et fidélité passionnelle entre les deux autres, c’est d’ailleurs très intéressant puisque justement il n’y a pas de rapport sexuel mais un champ de jouissance, le détail de l’intrigue importe peu d’autant que le film baigne dans un effet photographique où le tremblé se nourrit de mode, de sexe, de mouvement, il semble que ce film ait quand même eu quelques conséquences dans la vie d’au moins deux des protagonistes, le cinéaste et sa femme justement, ce serait d’ailleurs là aussi un formidable sujet sur le principe du peintre et son modéle, et bien sûr c’est encore la princesse de Cléves


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