• No way out

    No way out

     

    Roger Donaldson est un faiseur robotique qui agite un   Kevin Costner au jeu aussi peu expressif que possible, nous sommes dans une zone obscure qui, avec le temps, s’assombrit, car la guerre froide est loin avec cette histoire de sous marin géant furtif visible et ce final qui nous apprend que le faux espion est un vrai et que quand il se recherche lui même, que c’est pas lui,  et bien c’est lui, même si c’est pour une toute autre raison, qu’il a couché avec la maîtresse du ministre de la guerre, et que ce ministre l’a tué par jalousie, la fille bien sûr, alors qu’il est peut être amoureux d’elle, il faut dire qu’il a du mal avec l’assistant du ministre qui est amoureux du ministre, qui n’aimait donc pas la fille, mais c’est pas lui, l’assistant, qui a tué la fille, c’est le ministre qui a très peur du sénateur marchand d’armes, de la CIA, qui se doute de quelque chose, mais qui ne croit pas à l’histoire d’espion, c’est comme la lettre volée mais là il n’y a pas de lettre, ce qui est peut être le sens ultime de ce film qui nous présente en clou une fouille du pentagone telle qu’un nid d’espions pourrait y cultiver des tomates


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :