• the green mile

    the green mile

     

    ligne verte

     

    on ne va pas chercher des poux sur la tête chauve de Frank Darabont, il a filmé the walking dead, alors bien sûr son adaptation du feuilleton de Stephen King est un peu larmoyante, bien sûr le film est un peu figé et lent, et sans doute que cette histoire de noir guerisseur mais épuisé dès lors de vivre ne met pas de toute façon en cause la peine de mort

    Le film a rapporté 286 801 374 $ au box-office mondial (dont 136 801 374 aux États-Unis), ce qui en fait le plus grand succès commercial d'un film adapté d'une œuvre de Stephen King. Il a attiré dans les salles de cinéma 1 714 080 spectateurs en France, 313 321 en Belgique et 279 969 en Suisse.

    Les Cahiers du cinéma trouve le film « écœurant au plus haut point », Première évoque « une fable christique qui s'avère longuement ridicule » et Télérama regrette que le réalisateur ne remette jamais en question la peine de mort.

    donc tout va bien et le monde court toujours mes bons messieurs

    la peine de mort demeure un fond de commerce  pour le politique et si le centre soft tend à l’annuler, l’essentiel des peuples tournent autour de l’extermination , alors pourquoi se laisser un peu prendre par l’énorme Michael Clarke Duncan qui vaut largement la bouille inexpressive de Tom Hanks

    qu’importe d’ailleurs puisqu’il s’agit d’éviter de s’imaginer dans ce couloir d’une façon ou d’une autre, chacun selon sa pente, comme icelui qui peint cette attaque d’un Rothko par un De Stael  avec figure féminine pour faire ville selon la leçon, un chemin sans but et sans bord, réduit au faire, excitation défaite, reste que le costume de scène et les bruits des voitures qui passent, ce sont des images , rien que des images, perdues dans le flux des formes figées


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