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the island
the island
Michael Bay est l’auteur d’un certain nombre d’opus qui ciblent déjà transformers 3, transformers 2, transformers 1, bad boys 2, pearl harbor, armageddon, bad boy 1, rock, donc pas vraiment du côté du cinéphile, Scarlett Johansson a une filmographie variable, a zombie’s lament, iron man 2, le dahlia noir de de palma, scoop de woody allen, la jeune fille à la perle de peter webber, lost in translation de sofia coppola, donc la film américain indifférent aux genres, à la notion d’auteur, vous mélangez tout ça avec une histoire de clones et vous avez ce film inégal, agité, qui joue sur des effets spéciaux sans fin dans les scènes de poursuite, l’effondrement du centre, mais qui raconte un truc curieux, les riches américains se sont fais fabriquer des clones pour réparer leurs organes usés, mais ces clones qui au début étaient des masses organiques inertes sont en fait éveillées sinon les organes dégénèrent , de sorte que ça se complique malgré un conditionnement robotique et une capture volontaire (quand on a besoin d’un corps, l’élu doit partir dans une île paradis), l’usine à viande utilise toute une série d’agents parfaitement indifférents à la boucherie qui s’opère, sauf un qui aide un clone qui comprend d’autant plus vide qu’il découvre l’amour pourtant annulé de l’éducation, bref il retrouve son double qui le trahit pour pas perdre sa viande mais meurt par erreur, tout se termine bien et fini en image new âge, ce qui fait passer peut être les images de dissection et de chambres à gaz, bien sûr le grand méchant est tué mais le système qui a produit ce truc intact
hors de cet aspect moral, il convient de noter que la question cinema ne peut s’aborder ni du point de vue de l’auteur, ni du sujet, mais d’avantage depuis le producteur, l’acteur, le chef opérateur, la musique, ce serait pour des séquences cinecure sans fin d’autres modalités de lecture
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